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Undercurrents

Happening today beneath the surface

Kemi Badenoch se fâche contre David Tennant

David Tennant at the LGBT Awards. Credit: Getty

juin 25, 2024 - 7:00pm

→ Kemi Badenoch spars with David Tennant

It’s impossible to escape the election — even at the British LGBT Awards ceremony. In an acceptance speech, the actor David Tennant said that his LGBT allyship was “just common sense”. He added that “until we wake up and Kemi Badenoch doesn’t exist any more [applause], I don’t wish ill of her, I just wish for her to shut up.” The Equalities Minister responded forcefully online, saying “I will not shut up » before dismissing Tennant as a “rich, lefty, white male celebrity”.

Many have come out to support Badenoch, yet she has also faced some unlikely criticism — from the Right. GB News’s Steven Edginton pointed out that “the most ‘right wing conservative’ minister in parliament uses ‘white male’ as a pejorative. Disgusting.” Perhaps it’s not just Tennant who’s playing identity politics…

→ Un chroniqueur du New York Magazine blâme Trump pour la mort de George Floyd

La mort de George Floyd aux mains de la police, ainsi que les émeutes qui ont suivi et la recrudescence de la criminalité violente peuvent toutes être imputées à Donald Trump, selon Jonathan Chait du New York Magazine.

Selon l’article, les commentaires pro-police de Trump ont encouragé les policiers à abuser des Américains en toute impunité, conduisant directement à la mort de Floyd. « La crise aurait pu être évitée si nous avions simplement quelqu’un d’autre à la Maison-Blanche », a écrit Chait, bien qu’il ait concédé que « il est impossible de prouver que Derek Chauvin n’aurait pas tué George Floyd dans un monde hypothétique où Hillary Clinton avait remporté l’élection de 2016 ».

Le cœur de l’histoire est que les conservateurs de la loi et de l’ordre devraient voter pour Biden ce novembre. C’est un cri de ralliement que nous entendons également de la part des libéraux qui considèrent la poursuite criminelle de Trump à New York comme une application équitable — et accablante — de la loi. Trump, pour sa part, savoure évidemment son image de hors-la-loi.

→ La fin de l’anonymat alt-right

Il semble que l’âge d’or des utilisateurs anonymes de droite sur X (Twitter) touche à sa fin : le doxxing est en plein essor. HOPE not hate a révélé que le compte du bodybuilder nationaliste Raw Egg est géré par un universitaire anglais appelé Charles Cornish-Dale qui vit avec sa mère.

Nul doute que beaucoup imaginaient le personnage derrière ce compte comme étant ultra-macho, homo-érotique et profondément de droite.

Le doxxing, qui fait suite à celui de Bronze Age Pervert (Costin Vlad Alamariu) et Lomez (ancien conférencier de l’université Irvine de Californie, Jonathan Keeperman), est un signe certain que le Twitter de gauche en a assez. L’anonymat ne peut pas durer éternellement.

HOPE not hate a également révélé que les livres de Cornish-Dale ont été vendus par une maison d’édition qui propose également des volumes des discours d’Hitler et un roman de Joseph Goebbels.

Faites attention à tous ceux qui attaquent Trump, doxxent des anonymes et frappent à droite pendant une année électorale

— Joshua Rainer (@JoshRainerGold) 23 juin 2024

Pour essayer de se défendre, Raw Egg Nationalist a reposté un tweet disant : ‘Faites attention à tous ceux qui attaquent Trump, doxxent des anonymes et frappent à droite pendant une année électorale’.

L’anonymat a peut-être disparu, mais les livres continueront sans aucun doute de se vendre…

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